A propos
Série photographique Impressions cubaines:
« Impressions cubaines » est un documentaire au long court sur la classe moyenne de Cuba depuis 2003. Il me semblait intéressant d’aller au delà de l’image solaire et rétro souvent véhiculer par les médias. Comment représenter un pays dont le temps se serait figé depuis l’embargo ? Comment la population le vit-elle ?
J’ai voulu aller au-delà des codes du reportage classique et c’est bien des impressions subjectives que j’ai retranscrites sur ces images.
Dans un monde sclérosé par les médias, les politiques ou même le rêve et la beauté se retrouvent analysés, décortiqués par les historiens, les scientifiques, les ethnologues. j’ai essayé de saisir cette part de mystère universelle que nous avons tous. J’ai tenté de cristalliser cette rencontre avec l’autre. Ce moment où rien n’est joué, rien n’est arrangé.
J’ai photographié le monde cubain tel qui m’est apparu au premier instant : comme dans un rêve.
Un petit espace où tout est encore possible où ce qui pourrait être analysé comme laid ou misérable devient magnifique, où le vivant se confond avec la matière.
Chaque photo de ces « Impressions cubaines » garde son secret. Tout est à élaborer par celui qui les contemple. Elles peuvent être considérées comme un témoignage social mais aussi un miroir venu de loin présentant le reflet de notre condition humaine
A Cuba, Vincent Goutal photographie sa première impression. Il saisit ce mystère universel pour créer des tableaux qui parlent (mais pas seulement) de notre condition. Il nous débarrasse des discours ou des images préfabriqués. On s’oublie dans l’étrange : on est confronté à nos propres interrogations.
Car chaque photo garde son secret. Tout est à élaborer. Ses images suggèrent, impliquent et construisent à la fois des émotions et notre propre imagination narrative.
Ici les gens apparaissent souvent confinés dans des pièces isolés et leur existence individuelle révèle un théâtre de l’absurde comme Samuel Beckett pouvait le représenter.
Série photographique Visions de l'Est:
Dans ce documentaire, Vincent Goutal s’est interrogé durant trois ans sur l’identité des pays de l’Est.
De la Russie à l’Ukkraine en passant par la Serbie, il a été l’observateur discret d’un monde en mutation, hanté par le spectre du Mur et du totalitarisme.
Débarrassé de toute allusion politique, son regard capte les détails qui ont pu échapper à la frénésie collective des médias de l’époque, révélant alors un univers hésitant entre passé et avenir, nimbé d’une lumière mélancolique.
Série photographique Impressions cubaines:
« Impressions cubaines » est un documentaire au long court sur la classe moyenne de Cuba depuis 2003. Il me semblait intéressant d’aller au delà de l’image solaire et rétro souvent véhiculer par les médias. Comment représenter un pays dont le temps se serait figé depuis l’embargo ? Comment la population le vit-elle ?
J’ai voulu aller au-delà des codes du reportage classique et c’est bien des impressions subjectives que j’ai retranscrites sur ces images.
Dans un monde sclérosé par les médias, les politiques ou même le rêve et la beauté se retrouvent analysés, décortiqués par les historiens, les scientifiques, les ethnologues. j’ai essayé de saisir cette part de mystère universelle que nous avons tous. J’ai tenté de cristalliser cette rencontre avec l’autre. Ce moment où rien n’est joué, rien n’est arrangé.
J’ai photographié le monde cubain tel qui m’est apparu au premier instant : comme dans un rêve.
Un petit espace où tout est encore possible où ce qui pourrait être analysé comme laid ou misérable devient magnifique, où le vivant se confond avec la matière.
Chaque photo de ces « Impressions cubaines » garde son secret. Tout est à élaborer par celui qui les contemple. Elles peuvent être considérées comme un témoignage social mais aussi un miroir venu de loin présentant le reflet de notre condition humaine
A Cuba, Vincent Goutal photographie sa première impression. Il saisit ce mystère universel pour créer des tableaux qui parlent (mais pas seulement) de notre condition. Il nous débarrasse des discours ou des images préfabriqués. On s’oublie dans l’étrange : on est confronté à nos propres interrogations.
Car chaque photo garde son secret. Tout est à élaborer. Ses images suggèrent, impliquent et construisent à la fois des émotions et notre propre imagination narrative.
Ici les gens apparaissent souvent confinés dans des pièces isolés et leur existence individuelle révèle un théâtre de l’absurde comme Samuel Beckett pouvait le représenter.
Série photographique Visions de l'Est:
Dans ce documentaire, Vincent Goutal s’est interrogé durant trois ans sur l’identité des pays de l’Est.
De la Russie à l’Ukkraine en passant par la Serbie, il a été l’observateur discret d’un monde en mutation, hanté par le spectre du Mur et du totalitarisme.
Débarrassé de toute allusion politique, son regard capte les détails qui ont pu échapper à la frénésie collective des médias de l’époque, révélant alors un univers hésitant entre passé et avenir, nimbé d’une lumière mélancolique.